L'art comme énergie du changement
Nous croyons au pouvoir de l’art pour émerveiller, émouvoir, ranimer. Plus qu'une galerie, Turbine 240 est un lieu de diffusion, certes, mais surtout un vecteur de transformation où l’art agit comme une véritable turbine symbolique, générant du mouvement, de la vie, de la lumière.
Notre intention est de redéfinir le quartier et de continuer d’enrichir son tissu urbain en y inscrivant des œuvres dans les interstices, transformant la rue et les places publiques en une extension naturelle de l'espace d'exposition.
Turbine 240 se veut une œuvre habitée, un tableau vivant de la résilience humaine. Parce que mettre en lumière la beauté d’un endroit assombri par l’abandon, il est aussi là, l’art.
Quand l’architecture et l’art redonnent vie à un quartier
L’histoire de Turbine 240 est avant tout celle de Sylvain Pomerleau, architecte passionné par la réhabilitation urbaine, et de Guylaine Lacasse, artiste et designer engagée. Leur aventure débute en 2008, portée par un désir commun : révéler la beauté cachée des lieux oubliés et redonner une âme à un quartier marginalisé.
Ensemble, ils veulent raviver la mémoire du lieu et réinsuffler la vie dans ce fragment délaissé de la ville. Peu à peu, cafés, ateliers et commerces s’y greffent, ramenant une vitalité nouvelle et durable.








Dans ses fondations reposent trois turbines historiques, jadis utilisées pour alimenter les métiers à tisser. De cette découverte est né le nom La Turbine 240 : un symbole de la force créatrice et de l’énergie qui anime aujourd’hui le quartier. Ces turbines représentent le passage d’une énergie mécanique à une énergie culturelle et artistique, moteur de renouveau pour la communauté.
Inspirés par des exemples comme Wynwood à Miami, Sylvain et Guylaine souhaitent aujourd’hui créer un espace d’exposition vivant, où citoyens, artistes de renom et talents locaux se croisent pour partager leurs passions.
L’année 2025 marque l’ouverture de Turbine 240, et la vision de ses fondateurs est claire : faire de ce quartier un canevas vivant, un territoire de fierté et d’appartenance, une œuvre collective en perpétuel mouvement.


